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mystique

21 janvier 2007

timide

Je ne vous demande pas de m'aimer,
Je ne vous demande pas de m'adorer...
Je veux juste que vous me compreniez,
Que vous ne vous fassiez pas de mauvaises idées...
La première fois que vous me rencontrez,
Je parle peu, je suis renfermée...
Comme une femme froide vous me percevez,
Et ce n'est pas cela que je souhaite montrer...
Car je suis tout le contraire de cela,
J'ai un coeur, mais je suis timide voilà...
Ma timidité est une maladie chez moi,
Elle fait de moi ce que je ne suis pas...
Au fil du temps, vous me découvrirez,
Et peut-être votre vision va changer...
Ma vraie personne est malheureusement cachée,
C'est avec le temps qu'elle pointe le bout de son nez...

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21 janvier 2007

maux d'enfants

Petite fille mélancolique ,
Parfois regarde le temps
Petite fille mélancolique
Aimerait qu'il soit plus lent.

Elle se cache et solitaire
Un peu perdue,seule sur la terre
L'oeil luisant, conte aux étoiles
Ce chagrin qui lui fait mal
:

"Je voudrais ne plus grandir
Plus grandir pour ne pas mourir
Plus grandir pour ne pas souffrir
J'ai peur des temps à venir"


"Voyez-vous, j'ai froid dedans
Parlez-moi,rassurez mwa,
Vous, les astres si grands
Eclairez-mwa,aidez mwa"

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Aux maux d'une âme d'enfant sage
Les astres ne sont pas indifférents.
Et ces lumières au grand âge
Lui répondent gentiment :


" Fragile enfant de la terre,
On ne peut faire marche arrière,
Par la faute du temps la vie se meurt,
Elle se consume heure après heure "


"Petite fille, résigne-twa à croire
Qu'il faut vivre dans l'espoir,
Il faut vivre de tout son coeur
Sans penser au temps,ce voleur"

21 janvier 2007

image

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L’image que nous renvoie un miroir est une image à apprivoiser. Nous gardons un parfait contrôle sur elle : il suffit de replacer une mèche, de redresser les épaules ou bien même de rectifier le rouge mal posé. La privation du miroir crée le désarroi : en effet, il ne reste plus que le jugement des autres, mais sans aucune possibilité de maîtrise. On est souvent victime de la perte de contrôle de sa propre image. C’est pourquoi l’autre devient un support nécessaire pour garder une sorte d’illusion sur soi. Personne ne peut nier qu’aujourd’hui, on accorde énormément d’importance au regard des autres pour une multitude de raisons. Mais sommes-nous toujours prisonniers du regard des autres ?

18 janvier 2007

J'ai longtemps pensé que je pouvais tout dire, et

J'ai longtemps pensé que je pouvais tout dire, et que quoi que je pense, quoi que je fasse, l'opinion qu'ont certaines personnes de moi ne changerait jamais.

Seulement, davantage maintenant qu'avant et pendant le trouble, je ressens de curieux malaises dans mes conversations. Je n'arrive pas encore à saisir ce dont il s'agit. Je crois sincèrement qu'avec certains, j'étais sur une meilleure longueur d'ondes quand je m'efforcais de leur plaire et que je taisais un peu trop qui j'étais. Plaire à tout le monde, à n'importe quel prix. Prétendre aimer telle ou telle chose, vivre telle ou telle émotion et s'oublier quelque part entre telle ou telle opinion.

Même si je ne l'adoptais pas volontairement, j'endosse pleinement aujourd'hui la responsabilité de cette attitude. À cause d'elle, j'ai entretenu pendant de nombreux mois, voire des années, de faux rapports avec les gens; des rapports basés en partie sur une personnalité qui ne m'était pas entièrement fidèle. J'en vis aujourd'hui certaines des retombées. Révéler ma vulnérabilité, ouvrir le grand livre de mes chagrins et en raconter tous les chapitres sans hésitation ni censure sont des actions que je ne regretterai jamais avoir prises, car sans elles, je ne m'en serais pas sortie. En revanche, ces mêmes actions rendent incertaines la crédibilité et la confiance que l'on m'accorde quant à ce qui me concerne directement : ma santé (mentale, surtout), mes intérêts, mes réflexions, mes opinions. Un doute s'installe dans les yeux de plusieurs... Est-elle sincère? Va-t-elle bien? Sait-elle vraiment dans quoi elle s'embarque et de quoi elle parle? Me joue-t-elle la comédie? Quel genre d'activité est-ce cela?

Et si à l'origine de ces questionnements se trouvait celle que je n'ai jamais osé dévoiler? Celle que j'ai enfouie par peur de toutes ces questions muettes? Aujourd'hui, je le vois bien qu'il n'est pas facile d'être soi-même, de croire en soi et en la valeur que l'on porte. C'est la vérité parfois qui choque. Je ne suis pas prête à ignorer de nouveau qui je suis. Pas question, alors qu'ils causent toujours...

18 janvier 2007

trouver et lacher prise

Et créer l'équilibre entre les deux. Autant autrefois j'ai pu être timorée, portée à éviter les contacts, à les craindre surtout, autant aujourd'hui, je fonce les yeux fermés et je ne cesse de provoquer des occasions de rencontres, de plaisirs, de contacts avec l'Autre, amie, amant, frère, soeur. Du temps perdu à rattraper. Du temps seule à oublier. Un besoin de me sentir vivante, d'enfouir la solitude bien loin, de ne pas penser qu'au fond, elle subsiste. Malgré tout. Je perds l'équilibre. La balance chavire d'un côté comme de l'autre, d'un jour à l'autre. J'ai mal au coeur, ça tourne pas toujours rond.

La prise, je la trouve. Je la tire vers moi. Elle vient presque chaque fois. Elle se laisse faire, se laisse bercer par ma bonté, depuis que j'ai appris à donner. Que j'ai appris que donner donne. Mais donne-t-il vraiment? Pas toujours, je le sens. La prise n'a pas toujours bon goût. Faut la lâcher. Lâcher prise. Une notion que je n'ai pas encore comprise. Je persiste, assaisonne, essaie du piquant, ouvre pour voir mieux, soulève pour scruter profond. Je tiens fort, tire et tire seule parfois. Épuisement. Souffle.

Choisir sa prise... Lâcher quand elle ne prend guère. Quand ça goûte moins bon. Chercher aussi à combler le besoin, l'envie d'être soi-même une bonne prise pour l'Autre. J'ai parfois besoin qu'on me prenne aussi.

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28 décembre 2006

reflexion sur la vie

Avez-vous déjà réalisé que la seule période la vie qui aspire à vieillir est l'enfance ?
Si tu as moins de 10 ans, tu es tellement excité à l'idée de vieillir que tu penses en fractions.
« Quel âge as-tu ? »
« J'ai six ans et demi »
Pourtant, tu n'auras jamais trente-six ans et demi !
Tu as 6 ans et demi, presque 7 ! C'est le bonheur !

Tu deviens par la suite adolescent, tu pourras difficilement te retenir !
Tu sautes d'une année à l'autre, presque des années.
« Quel âge as-tu ? » « Je vais avoir 16 ans »
Tu as peut-être 13 ans mais tu vas avoir 16 ans !

Et le plus beau jour de la vie, tu deviens majeur, 18 ans.
Youpi ! Le mot même a l'air d'une cérémonie !
Tu as ensuite 20 ans. quand on aime on a toujours 20 ans !
Puis, tu passes le cap des 30 ans !

Et puis, tu as 33 ans, l'âge du Christ. Que s'est-il passé ?
Il est MORT à cet âge- là ! On y repense à deux fois !
Y a quelque chose qui cloche là. Tu t'en vas sur 40.
Woe ! Applique les freins, la vie te glisse entre les doigts !
Avant de t'en rendre compte, tu arrives à 50, un demi-siècle...et tes rêves s'envolent.

Mais attends ! !!
Tu te rends à 60 ans. Tu ne pensais pas te rendre là !
La retraite qui arrive.
Et, tout doucement, tu arrives à 70 ans !
Par la suite, la vie se vit au jour le jour, tu comptes les saisons, tu te
mêles dans les jours de semaine !

Puis à 80 ans, chaque jour devient un cycle complet !
Tu te rends au dîner, t'arrives à 16h30 et t'as hâte d'aller te coucher !
Et ça ne s'arrête pas là ! Quand tu arrives à l'âge de 90 ans, tu commences à régresser !
« Il n'avait pas encore 92 ans ! » entend-on au salon funéraire.

Et une chose étrange arrive. Si tu te rends à 100 ans, tu redeviens enfant !
« J'ai 101 ans et demi ! »

Et je vous souhaite à tous d'atteindre ce fameux "101 ans et demi" en très bonne santé !...
Longue vie !!

28 décembre 2006

du tps

649780359_smallChaque jour...

Prendre le temps de penser , c'est la source du pouvoir.

Prendre le temps de se distraire , c'est le secret d'une perpétuelle jeunesse

Prendre le temps de lire, c'est la fontaine de la sagesse.

Prendre le temps d'aimer et d'être aimé, c'est un privilège divin.

Prendre le temps d'être aimable , c'est le secret du bonheur.

Prendre le temps de rire , c'est la musique de l'âme.

Prendre le temps de travailler, c'est le prix du succès.

Prendre le temps de te reposer, sans quoi tu ne pourras jouir d'aucun privilège

Prendre le temps de remercier le ciel, c'est s'ouvrir à l'éternité.

Prendre le temps de jardiner , c'est dire oui à l'oeuvre de Dieu

Prendre le temps d'écouter , d'entendre , de sentir , de voir avec son coeur

28 décembre 2006

amitié

15848_1_Si tu penses un jour
Que tu as besoin de moi,
Si je te manque au detour
D'un chemin qui ne s'eclaire pas,
Si la vie ne te rends pas
Tout ce que tu lui donnes,
Et si tu trouves parfois
Que tes envies t'abandonnent,
Alors je viendrait pour toi,
A n'importe quel moment,
Je serais toujours là
Quelques soit le temps,
A travers tous les dangers
Je voudrais te retrouver
Et essuierai ton coeur
De ses chagrins et de ses peurs,
Et meme si ton corps
Est recouvert de remords,
Je te sauverai du froid
Comme tu l'as deja fait pour moi. . .

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